Graham Potter, ancien manager de Chelsea

Mercato Chelsea : Graham Potter assume son échec

Graham Potter, éphémère manager de Chelsea, est revenu sur les conditions qui ont fait que son passage a été un échec. Qu’il assume complètement.

Graham Potter assume complètement

Graham Potter a été interrogé sur son passage à Chelsea. Le technicien anglais a complètement assumé son échec chez les Blues : « J’assume la responsabilité des résultats . Je n’ai jamais dit que j’avais été parfait. On vit et on apprend, et on est reconnaissant de l’opportunité et de l’expérience que l’on a eue là-bas. Mais il y a probablement un contexte qui est apparu. La solution facile est que Chelsea ne gagne pas, donc c’est l’entraîneur qui n’a jamais travaillé à ce niveau auparavant, c’est lui le problème. Ce n’est peut-être pas faux à 100%, mais ce n’est pas juste à 100 %. » a-t-il déclaré dans les colonnes du Telegraph.

14 matches en six semaines

Graham Potter reconnait que cette saison particulière avec la Coupe du Monde 2022 au Qatar a été aussi une raison des difficultés rencontrées par un Chelsea en reconstruction : «  Il y a eu 14 matches en six semaines avant la Coupe du monde. C’est comme si vous étiez dans une machine à laver, c’est ce que nous avons dit au sein du staff, parce que les matches n’arrêtaient pas d’arriver et que nous n’avions aucun temps de préparation ou quoi que ce soit.  Nous avons perdu Reece et Wesley sur blessure. Je pense que nous avions le plus grand nombre de joueurs à la Coupe du monde et, peu après, nous avons perdu Raheem et Christian Pulisic » a-t-il ajouté.

Pas le temps de s’adapter à la Premier League pour les recrues

Et de conclure : « Ensuite, les propriétaires ont décidé d’investir beaucoup d’argent dans l’équipe, 300 millions de livres sterling lors de la fenêtre de transfert de janvier. Si vous dépensez 300 millions de livres sterling pour des joueurs qui viennent de l’extérieur de la Premier League, de pays qui font une pause à la mi-saison, vous ne pouvez pas imaginer qu’ils vont se mettre au travail et que tout va bien se passer« .

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