Jonathan Clauss, qui réalise une belle saison sous les couleurs de l’OGC Nice, assure ne pas regretter son choix d’avoir choisi de rejoindre les Aiglons et de quitter l’OM pendant le dernier mercato estival 2024.
Jonathan Clauss revit à Nice
Jonathan Clauss revit à Nice. L’ancien défenseur de l’OM, loin de la pression marseillaise, assume son choix d’avoir rejoint le club azuréen pendant le dernier mercato estival 2024 : « À Marseille, j’ai mis tout ce que j’avais à mettre, psychologiquement, physiquement, dans tout, tout, tout. À Nice, je redécouvre autre chose. En redécouvrant autre chose, avec l’âge qui avance aussi, avec la façon de jouer, d’autres coéquipiers, il y a encore des choses à modifier, sur lesquelles on peut progresser. C’est un éternel recommencement qui est extraordinaire. Avec des bases bien plus solides qu’avant » explique-t-il dans un entretien accordé à L’Equipe ce samedi.
Jonathan Clauss heureux d’avoir quitter l’OM
Jonathan Clauss est très heureux de son choix de quitter l’OM pour rejoindre l’OGC Nice et l’entraineur qui l’a fait progresser au RC Lens : « Pour moi, c’est plus agréable à vivre. J’ai connu une période à Marseille où c’était extrêmement compliqué dans ma vie de tous les jours. Elle n’avait quasiment plus de saveur. C’était foot, dormir, foot, dormir. Je ne pouvais plus mettre un pied dehors. Il y avait des rumeurs. Les gens se cantonnaient à l’image médiatique que j’avais et qui était fausse, alors que je ne faisais rien de tout ça. Aujourd’hui, je savoure d’être là (à Nice). Je vais au resto tranquillement avec ma compagne ou mes parents, je me balade un peu en ville. Je respire, en fait » a-t-il ajouté.
Deux années difficiles à l’OM
Deux années difficiles à l’OM qui l’ont forgé, l’on blindé : « Quand j’étais appelé, je n’avais pas réellement de but, je ne me demandais pas si j’allais jouer ou pas. À l’OM, je voulais jouer absolument et prouver que j’étais capable de m’y imposer. Donc il y a une pression qui est beaucoup plus importante qu’en Équipe de France. C’est une pression avec tout ce qu’il y a autour. Il faut l’encaisser. Il faut le vivre. Après, ça sert pour la vie de tous les jours, pour le foot, pour tout. Ça fait grandir à une vitesse extraordinaire » conclut-il.