Gérard Lopez est devenu persona non grata à Bordeaux après la catastrophe arrivée aux Girondins. Il ne se déplace plus dans la région désormais.
Gérard Lopez menacé reste loin de Bordeaux
Gérard Lopez ne met plus les pieds à Bordeaux depuis quelques jours. Le toujours propriétaire des Girondins de Bordeaux a reçu des menaces de mort. De ce fait, la réunion avec le Comité Social et Economique du club s’est déroulé en visio-conférence. Devant les représentants des salariés, il a présenté son plan social massif pour redresser financièrement le club. Beaucoup de salariés devraient se retrouver sur le carreau dans les prochains jours.
Evitez les frais bancaires cachés ! Rejoignez les plus de 40 millions d’utilisateurs qui adorent Revolut. Inscrivez-vous en cliquant sur ce lien
Gérard Lopez en visio-conférence ce jeudi
Selon L’Equipe, son audition de ce jeudi devant la commission fédérale de contrôle des clubs se fera également à huis clos. Gérard Lopez ne semble pas pour le moment rassuré de mettre les pieds en France après ces menaces de mort. A cette occasion, il s’agira de sauver la place des Girondins de Bordeaux en National. « Les Girondins entendent s’appuyer sur un article du code de commerce pour défendre l’idée qu’ils ne peuvent pas être sanctionnés plus durement qu’ils ne l’ont déjà été après leur relégation administrative en National » précise le journal sportif.
20 millions nécessaires pour reprendre le club
Si les Girondins de Bordeaux obtiennent gain de cause, alors il resteront « attractifs » pour d’éventuels investisseurs. Bien qu’ayant annoncé vouloir poursuivre à la tête du club, Gérard Lopez ne serait plus aussi certain de le faire. Son entourage ayant laissé entendre ces derniers jours que tout était ouvert. A condition qu’un investisseur, quel qu’il soit, puisse offrir 20 millions d’euros au moins, somme nécessaire pour reprendre le club girondin et monter un plan de redressement. Parmi les personnalités déjà intéressées figurent le promoteur immobilier Patrice Pichet, Pascal Rigo et l’homme d’affaires Bruno Fievet.