Quentin Merlin, le défenseur de l’OM, coupable sur l’un des trois buts encaissés face à Auxerre (1-3), a fait son mea-culpa. Et comprend la décision de Roberto de Zerbi de le sortir de l’équipe.
Quentin Merlin fait part de ses regrets
Avant d’affronter l’AS Saint-Etienne dimanche en Ligue 1, Quentin Merlin s’est longuement confié dans un entretien à l’AFP. Au cours duquel il revient sur le cauchemar vécu par l’OM à domicile face à l’AJA Auxerre. L’ancien Nantais étant coupable sur l’un des trois bus encaissés par les Olympiens ce jour-là : « J’ai revu le match en rentrant, comme toujours, et j’ai passé une demi-heure au téléphone avec mon père à cause de ça », confie-t-il. « C’est la première fois que je m’arrête comme ça dans un match. Et honnêtement, ma seule envie c’était d’envoyer un message sur notre groupe et de m’excuser auprès de mes équipiers et du staff, parce que c’est un manque de respect. Ça n’est pas parce que tu perds un ballon que tu dois t’arrêter ou lever les bras, comme je l’ai fait. » a-t-il expliqué.
Quentin Merlin grondé par De Zerbi
Quentin Merlin reconnait ensuite avoir eu une discussion avec Roberto de Zerbi pendant les jours qui ont suivi la rencontre. Le coach de l’OM reprochant à son défenseur son attitude lors de cette action : « »On en a discuté avec le coach », poursuit Quentin Merlin. « Disons qu’il m’a un peu grondé… Cette réaction, je ne dois plus l’avoir, c’est trahir son équipe. Donc c’est une fois mais pas deux. » a-t-il conclu.
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