Quentin Merlin, défenseur de l'OM
D.R

OM : Quentin Merlin, une défense à améliorer

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A l’image de son pendant à droite Jonathan Clauss, Quentin Merlin est loué pour ses qualités offensives. Mais il doit encore s’améliorer dans les tâches défensives pour passer un niveau.

Jonathan Clauss-Quentin Merlin même combat ? Si le premier est souvent mis en valeur pour ses capacités à faire la décision sur son côté droit en multipliant les passes décisives, il est aussi souvent raillé pour ses qualités défensives. A l’image de l’action sur laquelle il se fait balader par Etienne Capoue lors du match Villarreal-OM la semaine dernière. Pour Quentin Merlin, débarqué à l’OM pendant le mercato hivernal 2024, c’est un peu la même chanson : « À sa signature, un jeune joueur avec une belle marge de progression, je trouvais que la pioche était bonne, avoue dans les colonnes de La Provence Fabien Laurenti, consultant pour France Bleu Provence et ancien joueur de l’OM.

Quentin Merlin doit se lâcher

Pour ce dernier, Quentin Merlin doit encore s’améliorer : « Le contexte marseillais, le changement d’entraîneur… Les raisons sont multiples, mais on n’a pas encore vu son vrai visage. Il ne fait pas des matches catastrophiques, mais il peut faire beaucoup mieux. Par contre, il va falloir qu’il se lâche » ajoute-t-il. Avec une moyenne de 4,4 sur 10 depuis son arrivée, son niveau est donc jugé moyen par le quotidien marseillais.

Progresser dans le domaine défensif

Selon le média provençal, Quentin Merlin ne reste pas inactif. Il travaille beaucoup en dehors et sur le terrain pendant la semaine. Il s’inflige notamment de longues séances de vidéos pour repérer et gommer ses manques. En attendant, Jérémy Morel, spécialiste du poste et passé lui aussi par l’OM, prévient : « À mes yeux, c’est surtout un piston. Défendre, c’est un métier. On ne va pas révolutionner un joueur du jour au lendemain. Il faut avoir le truc de défendre, pour bien se positionner, anticiper, être bon dans l’impact. Si on ne l’a pas en soi, ça peut s’apprendre, tempère Laurenti. Quand il est aligné dans une défense à quatre, quand il se retrouve en un contre un, proche de sa surface, ça devient compliqué. C’est un point majeur sur lequel il doit travailler. » explique-t-il. L’ancien Nantais sait maintenant ce qu’il lui reste à faire pour rejoindre son coéquipier Jonathan Clauss en équipe de France.

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