Parc des Princes

PSG : QSI prêt à vendre des parts du club ?

Actionnaire majoritaire du PSG depuis 2011, QSI envisagerait de faire entrer des investisseurs dans le capital du club. Et pourrait pour cela céder quelques pourcentages de participation. Explications.

Malgré beaucoup d’ambitions et d’argent dépensé, les propriétaires qataris du PSG n’ont toujours pas réaliser leur objectif principal à savoir remporter la Ligue des Champions. Mais contrairement à ce que certains pensaient, il n’a jamais été question pour le Qatar de se désengagé du club parisien une fois sa Coupe du Monde 2022 passée. Au contraire, les Qataris sont toujours ambitieux et veulent encore se renforcer grâce à l’apport de nouveaux investisseurs. QSI envisagerait donc de céder des parts du club francilien.

QSI et le Qatar toujours engagés

Selon The Athletic, cette possibilité est à l’étude depuis quelques mois déjà à Doha et à Paris. Comme l’explique un dirigeant du club parisien au média britannique : « Nous n’avons aucun intérêt à vendre le club, ce sera certainement une participation minoritaire. Les propriétaires sont plus engagés que jamais envers le club, ce qui peut être vu par l’argent que nous avons dépensé pour le Campus et ce que nous sommes prêts à dépenser pour le stade : ce sont tous deux des investissements à long terme » explique Marc Amstrong. Et de préciser ensuite : « Les propriétaires sont plus que jamais engagés envers le club, comme en témoignent l’argent que nous avons dépensé pour Poissy (le nouveau terrain d’entraînement du club) et ce que nous sommes prêts à dépenser pour le stade : ce sont tous deux des investissements à long terme ».

Un fond d’investissement américain intéressé

En attendant, le fond d’investissement américain, Arctos Sports Partners, serait le mieux placé pour acquérir ces parts. Même si le montant négocié n’est pas connu à cette heure, la procédure semble en cours : « C’est une opportunité de faire passer notre activité au niveau supérieur et en particulier sur des marchés clés, tels que les États-Unis. La société a l’habitude d’investir dans des franchises sportives, elle a de l’expérience et du savoir-faire au sein de son conseil consultatif et nous pouvons travailler ensemble pour faire passer notre entreprise au niveau supérieur. » conclut-il.

Ils ont dit :

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