Marco Verratti avec l'Italie vers l'Euro 2024
PALERMO, ITALY - MARCH 24: Marco Verratti of Italy in action during the 2022 FIFA World Cup Qualifier knockout round play-off match between Italy and North Macedonia at Renzo Barbera Stadium in Palermo, Italy. (Photo by Tullio M. Puglia/Getty Images)

Mercato PSG : Verratti a préféré les premières années

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Marco Verratti a tiré sa révérence au PSG l’été dernier après onze passés au club. Non sans regret et sans nostalgie. Il raconte que ses années préférées au sein du club parisien sont les premières vécues dans le club de la capitale.

Dans un long entretien accordé à L’Equipe, Marco Verratti fait un retour sur ses années passées au PSG. Et il estime que c’est lors des premières saisons au sein du club parisien qu’il garde un meilleur souvenir : « C’était une époque différente mais les premières années, on était un groupe très soudé. Les Français, les Italiens, les nouveaux… C’est aussi une autre génération. Les problèmes du vestiaire y restaient, on se parlait entre nous. On était amis, quoi, on partait en vacances ensemble. Au début c’était un peu dur avec les Français mais après on était toujours ensemble, les Douchez, Chantôme, Jallet, même le 4e gardien. Tous dans le même objectif. Ensuite, on a eu des équipes plus fortes mais moins unies. Quand tu gagnes, c’est facile d’être amis. Mais quand les premiers problèmes arrivent tu vois si c’est vraiment un grand groupe. Je pense que c’est le problème qu’on a eu par la suite, ce n’était plus pareil » explique le milieu de terrain italien.

Marco Verratti a mal vécu la « Remontada »

Marco Verratti a également connu de mauvais souvenirs. Surtout sportif. Comme cette « remontada » du FC Barcelone en Ligue des Champions : « Je pense qu’on ne digère jamais un truc comme ça. C’est tellement inimaginable. Après avoir vécu ça, tu te dis : je ferai tout pour que ça n’arrive plus jamais. Mais le foot est joli aussi pour ça. Si tu regardes les choses de l’autre côté, c’est un truc de ouf. Je pense que c’était le destin. J’ai beaucoup souffert des grosses défaites. Quand les gens disent : il prend son argent, il s’en fiche, demain il ira au resto… Mais ça faisait mal. Comme si tu perds un être cher, tu te réveilles la nuit, tu ne sais pas ce que tu as, tu es si triste. Ces moments-là te font comprendre aussi que tu tiens vraiment à un club » a-t-il ajouté.

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